Quel est votre profil d’entrepreneur ?

Quel est votre profil d’entrepreneur ?

 

 

L’entrepreneur est souvent considéré comme un super-héros doté d’innombrables qualités, connaissances et compétences…

 

Existe-t-il un profil type d’entrepreneur ? Pas exactement. Chez Koï Coaching, nous considérons que chaque entrepreneur est différent et que chaque projet est unique.

 

Dans cet article, nous évoquons la notion de profil d’entrepreneur. Qu’est-ce qui définit un profil ? Y-a-t-il des points communs entre tous les indépendants ? Autant de questions auxquelles nous essayons d’apporter des éléments de réponse.

 

 

Le profil de l’entrepreneur : qu’est-ce que c’est ?

 

Le profil type de l’entrepreneur, mythe ou réalité ?

 

 

Commençons par considérer le profil type de l’entrepreneur, l’avatar du parfait indépendant, le stéréotype entrepreneurial.

 

Dans la pensée collective, l’entrepreneur est :

• charismatique ;
• sociable ;
• innovant ;
• créatif ;
• ambitieux ;
• travailleur ;
• loyal ;
• …

Il ne connaît pas l’échec, est parfaitement capable de gérer son temps de travail, son stress et le vaste champ de compétences exigées par son statut…

 

Trêve de plaisanteries. Même s’il semble important d’avoir certaines des caractéristiques citées ci-dessus, il reste compliqué de toutes les regrouper. Si beaucoup d’études tendent à établir des standards de profils entrepreneuriaux, d’autres prouvent que l’entrepreneur n’est pas un surhomme doté de toutes ces qualités et compétences, mais simplement une personne en adéquation avec son projet.

 

 

Des figures entrepreneuriales, mais surtout médiatiques telles qu’Elon Musk, Steve Jobs ou Xavier Niel inspirent les représentations de « l’entrepreneur par excellence ». Ces standards imposés n’ont-ils pas quelque chose de déroutant pour le porteur de projet qui souhaiterait se lancer dans l’aventure entrepreneuriale ?

 

Chacun d’entre nous côtoie tous les jours des chefs d’entreprise possédant des personnalités, des qualités, des défauts, des compétences ou des connaissances très diverses d’une personne à l’autre. Preuve en est qu’il n’existe pas un profil type d’entrepreneur, mais bel et bien une multitude de profils.

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Quels éléments prendre en compte dans la définition d’un profil ?

 

 

La définition d’un profil tient compte de différentes caractéristiques personnelles et professionnelles :

 

• La personnalité ;
• Les aspirations et les motivations ;
• Le cursus et les expériences ;
• Les compétences ;
• L’environnement familial, social et politique.

 

 

De nombreux tests de profil entrepreneurial existent. Cependant, rares sont ceux qui sont réellement reconnus. Pour mieux percevoir votre profil d’entrepreneur, il peut être intéressant de mener un travail d’introspection, de solliciter des feedbacks de votre entourage et/ou de faire appel à un coach professionnel.

 

Cet article de blog met en lumière certains aspects clés permettant à un porteur de projet de mieux comprendre son profil d’entrepreneur.

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Quelques exemples de profils d’entrepreneurs

 

Il nous est difficile d’envisager de pouvoir mettre les entrepreneurs dans des cases, surtout lorsque celles-ci se comptent sur les doigts de la main.

 

Néanmoins, nous partageons avec vous cinq profils d’entrepreneurs, identifiés par deux professeurs de l’Université de Mons en Belgique, Sabrina Bellance et Olivier Colot. Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon d’entrepreneurs belges.

 

Les cinq grands profils d’entrepreneurs identifiés par ces deux chercheurs sont :

 

Profil 1 : « L’entrepreneur par excellence »

 

 

Ils représentent la plus grande part des entrepreneurs, soit près de cinq entrepreneurs sur dix.

 

« L’entrepreneur par excellence » possède un goût très fort pour l’entrepreneuriat. Il a tout simplement « soif d’entreprendre ». Il aime le risque (ce trait est une caractéristique essentielle du comportement entrepreneurial). Tirer des profits de sa passion n’est pas forcément sa première motivation.

 

« L’entrepreneur par excellence » est principalement stimulé par l’innovation, par la création de quelque chose de nouveau, par la réalisation de son projet. Il a un tempérament entreprenant et projette souvent de créer non pas une entreprise, mais plusieurs entreprises. Ses principales motivations sont le besoin de création, le pouvoir et l’accomplissement de soi.

 

Il a un besoin d’autonomie très fort et est ambitieux. Son besoin de liberté et d’évoluer professionnellement ne s’accorde pas avec les emplois dits « traditionaux », ce qui explique parfois son insatisfaction face à son ancien statut de salarié.

 

 

Profil 2 : « L’entrepreneur passionné »

 

Près de deux entrepreneurs sur dix sont inclus dans ce profil d’entrepreneur.

 

« L’entrepreneur passionné » n’est pas particulièrement motivé par l’aventure indépendante, mais il désire avant tout exercer le métier de ses rêves. Cet entrepreneur saisit ainsi l’opportunité de réaliser son souhait au travers de la création d’une entreprise.

 

Son projet est motivé par l’envie de mettre en valeur son travail et non par l’envie d’innover (il est doté de bonnes compétences techniques, il est souvent artisan ou pratique un métier manuel).

 

 

Profil 3 : « L’entrepreneur sentimental »

 

 

Ils représentent près de deux entrepreneurs sur dix interrogés pour l’étude.

 

« L’entrepreneur sentimental » n’est pas forcément motivé par l’envie d’entreprendre, ni par l’indépendance que cela offre. Il est davantage tourné vers le maintien du patrimoine familial : la reprise de l’entreprise familiale lui assure un patrimoine personnel ainsi qu’un héritage pour ses enfants (on retrouve ici la notion de reproduction sociale expliquée par Pierre Bourdieu : la position sociale des parents constitue un héritage pour les enfants).

 

Sa motivation principale est la transmission du patrimoine familial à travers le maintien et la pérennité de l’entreprise : « la société familiale sera entre de meilleures mains en restant au sein de la famille ».

 

 

Profil 4 : « L’entrepreneur protecteur »

 

« L’entrepreneur protecteur » représente moins d’un entrepreneur sur dix.

 

« L’entrepreneur protecteur » n’est pas attiré par l’autonomie qu’offre le statut indépendant, mais par l’assurance de l’emploi pour autrui. Sa motivation est principalement financière. Il se dirigera très souvent vers la reprise d’une entreprise, dans le but de conserver les emplois. Il veille à la stabilité de son entreprise de manière à assurer le maintien des emplois.

 

 

Profil 5 : « L’entrepreneur contraint »

 

« L’entrepreneur contraint » était encore rare à l’époque de l’enquête : il représentait moins de trois pour cent des entrepreneurs interrogés en 2014. Cette proportion reste à mettre à jour.

 

La plupart du temps, « l’entrepreneur contraint » est soit un jeune ne trouvant pas d’emploi qui lui correspond à la sortie de ses études, soit une personne de plus de 51 ans. La motivation première de « l’entrepreneur contraint » est de se créer son propre emploi.

 

 

Dans ces conditions, « l’entrepreneur contraint » peut n’avoir aucune motivation pour l’entrepreneuriat. Sa situation ne lui convient pas nécessairement, elle lui permet simplement de s’assurer un emploi. Notons d’ailleurs que bien souvent il ne parvient pas à s’épanouir à travers la création d’entreprise.

 

Il est souvent appelé « l’exclu » dans les études comportementales sur les profils d’entrepreneurs. Selon ces études, il est déviant de la norme qui considère que les entrepreneurs doivent avoir des motivations positives (maintien d’emplois, innovation, satisfaction de « rêve de vie »…). « L’entrepreneur contraint » aurait une motivation dite « négative » : il s’oblige, n’exerce pas par envie et évite simplement le chômage.

 

 

Notons qu’il existe une multitude de « grilles de profils entrepreneuriaux ». Ces différentes descriptions doivent être prises avec recul et discernement.

 

Et si chaque entrepreneur était capable de définir lui-même son profil d’entrepreneur, à partir notamment d’une réflexion autour de sa personnalité, de ses motivations, de ses compétences ?

 

 

Votre personnalité, premier facteur déterminant de votre profil d’entrepreneur

 

Quel est le rôle de votre personnalité dans la création d’une entreprise ?

 

 

Notre personnalité est en partie définie par nos gênes. Elle est également influencée par la somme des expériences vécues, par l’environnement familial, par le contexte socioculturel et par l’éducation. La somme de ces composantes influence la manière dont nous percevons la réalité. Elle détermine la manière dont nous pensons et agissons. Elle aura donc nécessairement une influence significative sur notre parcours entrepreneurial.

 

Plus vous avez une fine connaissance de vous-mêmes, de vos modes de fonctionnement, de vos motivations, de vos valeurs et de vos autres traits caractéristiques, plus il vous est facile de faire des choix qui vous correspondent réellement. De même, connaître vos points forts et vos points faibles peut vous aider à choisir votre entourage professionnel (c’est le cas par exemple des associations alliant un commercial et un technicien).

 

 

Qu’est-ce que votre façon d’entreprendre dit de votre personnalité ?

 

Vous trouverez ci-dessous quelques traits de personnalité pouvant avoir une influence sur la « bonne marche » et le développement de votre entreprise.

 

 

• L’ambition

Être ambitieux nous pousse à nous dépasser. Pourtant, en France, l’ambition est parfois mal perçue dans le monde de l’entreprise car associée à de l’opportunisme ou à la rage de vaincre pouvant pousser à « écraser » l’autre.

 

 

• Le leadership

 

 

La question du leadership occupe beaucoup de place pour les entrepreneurs et les chefs d’entreprises. Il existe de nombreux styles de leadership (autoritaire, visionnaire, participatif, collaboratif…). Aucun n’est meilleur que l’autre. Simplement, l’organisation et le modèle de management de l’entreprise découleront directement de la forme de leadership déployé.

 

Il nous semble essentiel que tout entrepreneur soit en mesure de s’interroger sur l’adéquation de son leadership par rapport au contexte dans lequel son entreprise évolue (par exemple, un style collaboratif n’est pas le plus pertinent en situation de crise). En outre, l’environnement d’une entreprise évoluant en permanence, le dirigeant capable d’adapter son mode de gouvernance à ces évolutions augmente considérablement les chances de survie de son entreprise.

 

 

• Le mode de prise de décision

De nombreux paramètres sont à prendre en compte dans le processus décisionnel (raison, émotions, inconscient…). Ainsi, certaines personnes ont besoin de collecter beaucoup d’informations et de mener une étude comparative avant de décider, d’autres se fient à leur intuition par exemple. Quelle que soit la manière dont vous prenez une décision, celle-ci en dit beaucoup sur vous et exerce une forte influence sur le développement de votre entreprise.

 

 

• Le comportement face au risque 

Nous ne sommes pas égaux face au risque. Certains recherchent la stabilité et la sécurité. D’autres considèrent la prise de risque comme un moteur. Il n’en reste pas moins que la prise de risque et l’incertitude sont la monnaie quotidienne de la vie entrepreneuriale.

 

 

• L’organisation

La rigueur et le goût pour l’organisation des fondateurs ont également un fort impact sur l’organisation de l’entreprise (importance des procédures, style de management, structure de l’entreprise…).

 

 

Ce ne sont là que quelques exemples, bien d’autres traits de caractère des fondateurs ont un impact direct sur l’entreprise.

 

 

Besoin d’aide pour définir votre personnalité ?

 

Le test MBTI® (Myers Briggs Type Indicator) est un outil d’évaluation psychologique déterminant le type de personnalité du répondant. Il a été inventé en 1962 par Isabel Briggs Myers et Katherine Cook Briggs.

 

Le MBTI est basé sur une centaine de questions et est réparti sur plusieurs niveaux. Il interroge nos façons d’agir et de penser. Le résultat interprète la manière dont nous percevons le monde et notre façon d’interagir avec lui. La réponse à ce questionnaire permet de définir seize types de personnalité, caractérisés par 4 lettres. Ces lettres traduisent :

• Votre énergie et son origine : E – Extraversion (l’énergie provient des autres) ou I – introversion (l’énergie provient du monde intérieur et nécessite des moments d’introspection et d’isolement) ;
• Votre façon de recueillir spontanément de l’information : S – sensation (information provenant de l’observation et des cinq sens) ou I – intuition ;
• Votre façon de prendre des décisions : T – « Think », pensée (vous prenez vos décisions en fonction de vos raisonnements) ou F – « Feel », sentiment (vous décidez en fonction de vos valeurs et de vos émotions) ;
• Votre manière d’appréhender le monde extérieur : J – jugement (vous avez besoin de contrôle et de maîtrise) ou P – perception (vous faites preuve de souplesse et de flexibilité).

 

 

Exemple de combinaison MBTI :

• ESTP : extraversion, sensation, pensée, perception ;
• INTP : introversion, intuition, pensée, perception.

 

 

À noter, si vous souhaitez réaliser ce test, il est recommandé de faire attention à sa provenance. Beaucoup de sites internet promettent un test MBTI vérifié et juste, sans pouvoir apporter les preuves de cette authenticité.

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Vos motivations et aspirations, l’essence de votre projet entrepreneurial

 

Qu’est-ce qui vous a poussé vers le chemin de l’entrepreneuriat ? Vos motivations et aspirations représentent le « cœur » de votre projet et le carburant nécessaire à son bon fonctionnement. Elles sont à l’origine de la majorité de vos choix stratégiques.

 

 

Les motivations personnelles

 

Citons quelques motivations répandues parmi les entrepreneurs et dirigeants :

 

 

Le besoin d’accomplissement personnel

 

Beaucoup d’entrepreneurs sont guidés par un besoin d’accomplissement, un souhait d’épanouissement et une envie de développement sur le plan personnel. L’entrepreneuriat devient alors un chemin vers « l’expression de soi ».

 

Par ailleurs, l’accumulation de nouvelles compétences et de nouvelles connaissances peut également être un facteur déclencheur pour créer son entreprise. Par exemple, un manageur qui acquiert de nombreuses compétences et savoir-faire grâce à ses expériences professionnelles passées peut par la suite souhaiter développer ces dernières et les appliquer dans sa propre structure.

 

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Le désir d’indépendance

 

D’autres entrepreneurs aiment la liberté et l’indépendance qu’offre la création d’entreprise. Ces entrepreneurs ressentent la nécessité de sortir des modèles traditionnels, ne supportent plus le poids de la hiérarchie ni certains modèles managériaux. A ce propos, vous aimeriez peut-être notre article dédié au télétravail.

 

 

L’expression de sa vision du monde

 

Certains entrepreneurs sont poussés par le désir de montrer qu’il est possible d’adopter d’autres modèles stratégiques d’entreprise, d’innover socialement, voire de vivre autrement. Bien souvent, leur projet entrepreneurial devient alors une réponse pour ce qu’ils considèrent être leur vocation.

 

Robert B. Dilts (coach et formateur en PNL) explique dans son livre « Next Generation Entrepreneurs » que les entrepreneurs modernes cherchent à suivre leurs rêves tout en produisant un impact positif sur la société.

 

L’auteur explique également dans son ouvrage que si les nouveaux entrepreneurs phares tels qu’Elon Musk (CEO de SpaceX et Tesla Motors) ou Richard Branson (fondateur de la marque Virgin) ont réussi, c’est grâce à un cercle vertueux : si une entreprise apporte quelque chose de positif à la Société, alors, l’inverse se produira et les chances de pérennisation de l’entreprise augmenteront considérablement.

 

 

Les motivations d’ordres familiales

 

Certains profils d’entrepreneurs sont influencés par les traditions familiales (phénomène de la reproduction sociale présentée par Pierre Bourdieu). Provenant d’une famille d’entrepreneurs, ils souhaitent suivre les traces de leurs pairs. Ces derniers sont parfois amenés à reprendre l’entreprise familiale, d’autres fois, ils ont simplement été inspirés par un parent ou un mentor. Nous retrouvons ici la motivation de « l’entrepreneur sentimental ».

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Les motivations d’ordres financières

 

Certains créateurs d’entreprises voient dans l’entrepreneuriat une opportunité financière. La création d’entreprise est alors, soit une solution dite « échappatoire » pour créer son propre emploi et ainsi s’assurer une rémunération, soit un moyen de gagner plus d’argent. Le régime de la microentreprise tend d’ailleurs à accélérer ce phénomène. Nous retrouvons ici le profil de « l’entrepreneur contraint » ou un profil que nous pourrions appeler « l’entrepreneur opportuniste ».

 

 

En résumé, la création d’une entreprise est une façon pour beaucoup d’entre nous de s’exprimer ou de répondre à des objectifs de vie. Identifier et communiquer ses motivations dès la création de son projet assure sa cohérence et permet d’être pertinent dans le choix de ses partenaires ou collaborateurs. Cela peut également être un argument commercial et marketing (un client adhère bien souvent autant à vos produits qu’à vos services).

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Quelques autres caractéristiques du profil d’entrepreneur ?

 

Les compétences

 

Nous parlons ici des compétences métiers, mais également des compétences transversales. Les identifier est important pour savoir ce que vous pouvez faire seul, ce que vous avez besoin de déléguer, ou pour identifier les compétences que vous devez développer.

 

 

Le comportement

 

 

La personnalité, les expériences vécues, le comportement des fondateurs vont avoir une influence sur le développement de son entreprise.

 

Exemple :

• Le fait d’être positif et de relativiser les situations difficiles favorise la résistance à l’adversité ;
• Être sociable facilite la construction et l’entretien de son réseau ;
• Être persévérant permet à l’entrepreneur de traverser les périodes plus compliquées.

 

 

L’influence de l’environnement social, économique et politique

 

L’entrepreneur est fortement influencé par son environnement social, économique et politique. En outre, certaines politiques gouvernementales encouragent la création d’entreprise.

 

C’est le cas par exemple de la France qui, selon une enquête INSEE, compte en 2017 sept pour cent de créations de plus qu’en 2016. L’entrepreneuriat est largement encouragé comme en démontrent les mesures visant à simplifier la création d’entreprise (régime de la microentreprise), le développement des formations à l’entrepreneuriat, les nombreux salons dédiés ou les dispositifs d’aide à la création d’entreprise.

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L’apport du coaching

 

Il n’existe pas une bonne façon de créer une entreprise. L’essentiel est que votre projet soit aligné avec vos aspirations, vos valeurs, vos motivations et votre personnalité. Cette recherche de congruence demande un travail d’introspection sincère. Vous le savez, il est impossible d’être complètement objectif vis-à-vis de soi-même. La neutralité, la bienveillance et l’accompagnement d’un coach professionnel peuvent vous aider à approfondir vos réflexions.

 

 

Prendre du recul sur ses actions est une chose, prendre du recul sur sa propre personnalité, sur ses expériences vécues et les incidences qu’elles peuvent avoir sur son business en est une autre. Grâce notamment aux techniques de questions et aux feedbacks, le coach professionnel offre un regard extérieur et objectif, utiles à la découverte de votre profil d’entrepreneur. S’offrir un coaching de qualité permet une prise de recul et une réflexion stratégique autour de son projet. L’enjeu est d’aller puiser dans son potentiel personnel les atouts qui permettront à la future entreprise d’être pérenne et de se développer dans les meilleures conditions.

 

 

 

 

Nous espérons que cet article de blog vous a été utile. Si nous devions le résumer en trois phrases, nous dirions que chaque entrepreneur a en lui le potentiel nécessaire à la réussite de son projet. L’essentiel est d’être conscient de ce potentiel et d’apprendre à le mettre au service de ses objectifs. La condition préalable est que l’entreprise développée soit alignée avec les particularités de ses fondateurs.

 

Et vous ? Connaissez-vous votre profil d’entrepreneur ?

 

 

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